La Maladie Mentale, comment S'en Sortir?

Techniques À propos de la Maladie Mentale qu'Il est conseillé Étudier Pour réussir

Les gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux devraient faciliter la collaboration des autorités règlementaires, des médecins et du personnel infirmier pour établir de normes de pratique à l’intention des médecins et des infirmières praticiennes à des fins d’évaluation des demandes d’AMM dans des situations qui soulèvent des questions sur l’incurabilité, l’irréversibilité, la capacité, les tendances suicidaires et l’incidence des vulnérabilités structurelles. Les dix-neuf recommandations du Groupe, en particulier les recommandations deux à treize, concernant la pratique clinique de l’AMM, sont considérées comme applicables à tous les problèmes de santé pour lesquelles il existe une incertitude quant à l’incurabilité, l’irréversibilité, la capacité, les tendances suicidaires et l’impact des vulnérabilités structurelles. Par exemple, dans la loi initiale par rapport à l’AMM, la signification de « MNRP » a généré une incertitude parmi les praticiens (Downie & Chandler, 2018; FOMC, 2016). L’ACPM et la FOMC ont indiqué au Groupe que la clarté du langage, notamment en ce qui concerne les critères d’admissibilité et les mesures de sauvegarde, est essentielle. Étant donné que tous les praticiens sont régis par leurs autorités réglementaires locales, et que les autorités règlementaires guident la pratique clinique dans l’intérêt du public, ceux-ci sont parfaitement placés pour établir des normes de pratique en matière d’AMM en tenant compte de la sécurité des patients.

Étant donné que le Code criminel ne définit pas certains termes relatifs à l’admissibilité à l’AMM, leur interprétation juridique relève des tribunaux, mais en l’absence d’une affaire dans laquelle les termes doivent être interprétés, de telles interprétations ne seront pas fourniesNote de bas de page 39. Les procureurs généraux et/ou les directeurs des poursuites publiques des provinces/territoires peuvent communiquer des directives (qui pourraient servir de conseils en matière d’interprétation) pour l’exercice du pouvoir discrétionnaire de poursuites en ce qui concerne l’application du Code criminel, mais ils ne l’ont pas fait pour ces termes. Plutôt, le Groupe a jugé que les critères d’admissibilité et les mesures de sauvegarde loxitane https://medicament-psychotrope.com existants concernant l’AMM, renforcés par les lois, les normes et les pratiques en vigueur dans les domaines connexes des soins de santé, peuvent fournir une structure adéquate pour l’AMM TM-SPMI dans la mesure où ils sont interprétés de manière appropriée pour prendre en considération la spécificité diagnostique des troubles mentaux.

Sa mère a 88 ans et vit de manière indépendante. Le Groupe est d’avis qu’il est nécessaire de donner aux praticiens des indications sur la manière d’opérationnaliser ces termes sur le plan clinique pour l’AMM TM-SPMI. Les recommandations sont interdépendantes et reflètent une approche globale pour structurer la pratique de l’AMM TM-SPMI. Vous trouverez ci-dessous les recommandations du Groupe concernant les mesures de sauvegarde, les protocoles et les directives relatives à la pratique de l’AMM TM-SPMI. Les évaluateurs de l’AMM devraient établir l’incurabilité en se référant aux tentatives de traitement effectuées jusqu’à ce jour, aux résultats de ces traitements, ainsi qu’à la gravité et à la durée de la maladie, de l’affection ou du handicap. Il ne s’agit pas seulement de protéger les évaluateurs et les prestataires contre les sanctions pénales et la discipline réglementaire. Le Groupe a examiné ces éléments en profondeur et a formulé des recommandations (2 à 4) visant à orienter les évaluateurs dans l’application de ces éléments. Note au lecteur : dans ce qui suit, le Groupe présente un petit nombre de vignettes de cas cliniques.

Ensemble, ces trois éléments dressent un portrait du type de circonstances cliniques pour lesquelles l’AMM peut être une option. Ils sont fournis pour illustrer certains concepts cliniques à l’étude qui peuvent être peu connus par certains lecteurs. «Il y a peu de procédures médicales plus attentatoires aux droits que l’injection forcée de psychotropesFootnote 39». Dans le cas d’une personne souffrant de maladie mentale qui comprend tous les renseignements relatifs à leur traitement, ainsi que les bienfaits et les risques de celui-ci, mais refuse tout de même son consentement, l’atteinte à l’autonomie est incontestablement grande. Enfin, ce système peut également rassurer les praticiens sur le fait que leur travail est conforme aux normes légales attendues, réduisant ainsi la crainte d’une sanction pénale. Monsieur A. était enseignant au niveau secondaire, mais il a perdu son emploi en raison de la fréquence et de la durée de ses absences du travail dues à son trouble. Il n’est pas possible de fournir des règles fixes concernant le nombre de tentatives de traitement, les différents types de traitement à essayer et la durée des traitements, car cela variera en fonction de la nature et de la gravité des problèmes de santé de la personne et de son état de santé général.

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